Si nous devions raconter la vie d’un avocat typique en utilisant uniquement son assurance maladie et dentaire, voici à quoi cela ressemblerait : 18 ans d’assurance parentale, sept ans d’assurance universitaire, plus de 40 ans d’avantages sociaux, avec d’éventuelles pauses sporadiques où le protagoniste bénéficie d’un nettoyage dentaire et demi par année au titre de l’assurance de son partenaire (c’est la partie romantique de l’histoire où une musique douce d’arrière-fond se fait entendre).
Mais même avec une bande sonore, ce n’est pas l’histoire la plus passionnante, et la partie la plus longue (plus de 40 ans) devient de moins en moins typique. Environ 20 % des avocats canadiens sont des praticiens indépendants1, et beaucoup d’autres travaillent dans de petits cabinets qui n’offrent pas d’avantages sociaux. Cela signifie que de nombreux avocats canadiens ne sont pas couverts par une assurance collective.
En tant que Canadiens, nous avons la chance de bénéficier d’une couverture universelle pour les services tels que les examens médicaux et les séjours à l’hôpital, mais les régimes publics ne couvrent pas les nettoyages dentaires, les lunettes ou les médicaments sur ordonnance, des services qui sont sans doute essentiels à notre bien-être général. C’est pourquoi il est si important pour les personnes qui ne bénéficient pas d’un régime collectif d’avantages sociaux de compléter leur assurance maladie provinciale par une assurance personnelle. Et pourquoi il est encore plus important d’obtenir les bons conseils. Nous avons discuté avec Shari Standil, conseillère de la Financière des avocates et avocats, à propos de son expérience dans la vente d’assurance maladie personnelle et dentaire, ainsi que des raisons pour lesquelles (comme pour beaucoup d’autres choses dans la vie) il vaut mieux commencer tôt.
Q. Parlez-nous de votre expérience en tant que conseillère en assurance
R. J’ai été professeure d’école intermédiaire pendant de nombreuses années, mais j’ai aussi grandi dans une famille qui travaillait dans le secteur de l’assurance. J’ai l’assurance dans le sang! Puis, après avoir pratiqué le droit pendant treize ans, mon mari est devenu planificateur financier agréé et s’est lancé dans le monde de l’assurance et de l’investissement. J’étais sa cheffe de bureau et, après avoir quitté le monde de l’enseignement, j’ai obtenu l’autorisation de vendre des polices d’assurance.
Le moment était bien choisi, et tout s’est très bien passé. Je trouve que c’est un domaine merveilleux, car on a vraiment l’impression d’aider les gens.
Q. Quel est votre client type?
R. Je travaille avec des clients à tous les stades de leur carrière, et je suis très heureuse de rencontrer de jeunes juristes qui se préoccupent de leurs besoins en matière de planification financière et d’assurance dès le début de leur carrière. La plupart des membres de ma clientèle ont moins de 40 ans. Il s’agit souvent de praticiens indépendants ou de personnes travaillant dans des cabinets qui n’offrent pas de régimes collectifs d’avantages sociaux. J’ai aussi des clients plus âgés, des quadragénaires et des quinquagénaires qui cherchent une assurance maladie pour leur famille. D’après mon expérience, c’est vraiment lorsque les gens fondent une famille qu’ils pensent à tout cela, mais comme je le dis toujours, le plus tôt est le mieux. .
Il est préférable de souscrire une assurance maintenant, lorsque les primes sont moins élevées et que l’on est moins susceptible d’avoir des maladies préexistantes qui entraîneront des exclusions.
Q. Pourquoi travaillez-vous si bien avec les jeunes avocats?
R. Je ne voudrais pas parler ici en tant que maman, mais je peux dire qu’avec des enfants, nous avons compris l’intérêt d’une protection rentable. Alors, bien sûr, j’utilise cette phrase avec mes clients, « c’est le conseil que je donnerais à mes enfants ». C’est très convaincant pour les gens. Je m’entends bien avec les jeunes professionnels qui ont une famille. Beaucoup de choses vous attendent lorsqu’on s’installe et qu’on fonde une famille. Il est donc préférable de souscrire une assurance maintenant, lorsque les primes sont moins élevées et que l’on est moins susceptible d’avoir des maladies préexistantes qui entraîneront des exclusions.
Il y a aussi le fait qu’il s’agit d’un bon produit. La Financière des avocates et avocats propose deux régimes d’assurance maladie et dentaire, le Régime d’assurance soins médicaux et le Régime individuel d’assurance maladie complémentaire, avec différents niveaux de couverture pour les soins de la vue, les soins dentaires, les médicaments sur ordonnance et plus encore. En tant que régime d’association, vous faites partie d’un grand groupe de juristes, ce qui est important pour lisser les primes, en particulier les années où les demandes d’indemnisation sont nombreuses.
Q. Les clients expriment-ils des réticences à l’égard de ces régimes?
A. Le principal problème est celui des exclusions de médicaments. Comme je l’ai mentionné, nous proposons deux régimes d’assurance maladie et dentaire pour les avocats en exercice, le Régime d’assurance soins médicaux et le régime individuel d’assurance maladie complémentaire. Le Régime individuel d’assurance maladie complémentaire est plus populaire, car il offre une meilleure couverture, mais le problème est que si vous prenez déjà un médicament, il ne sera pas couvert par le régime. C’est frustrant pour les gens, et je le comprends. C’est là que le régime d’assurance soins médicaux de la Financière des avocates et avocats peut se révéler un excellent choix, car il couvre les maladies et les médicaments existants.
Et si vous préférez le régime individuel d’assurance maladie complémentaire, je pense que vous devez envisager l’assurance de manière plus globale. En d’autres termes, si vous ne pouvez pas être couvert pour une maladie existante, vous pouvez anticiper vos besoins futurs. Que se passera-t-il si vous avez besoin de prendre un autre médicament à l’avenir? La profession d’avocat est stressante. Vous pourriez donc avoir besoin d’un massage de temps en temps. Souvent, il vaut la peine de payer vous-même votre médicament actuel et de profiter du reste de la couverture offerte par le produit.
Q. Comment voyez-vous votre rôle de conseillère?
R. Je pense que ma formation d’enseignante joue un rôle dans la façon dont je conçois ce travail. Je considère qu’il est de mon devoir d’informer les gens sur ces produits de la manière la plus claire possible. Je sais que nos clients sont des personnes très intelligentes et accomplies, mais l’assurance n’est pas leur domaine d’expertise. Vous savez, j’ai entendu des histoires de personnes qui se sont adressées à des compagnies d’assurance et qui n’ont reçu qu’une page de produits de la part du conseiller avec lequel elles étaient en contact. Je ne fais jamais ça. Ça ne fonctionne pas. Il faut quelqu’un pour décortiquer le jargon. C’est trop technique.
Mais je ne réussis pas toujours. Il existe d’autres compagnies d’assurance, et les gens vont faire ce qui leur convient le mieux, mais je crois en notre produit. Ce type de couverture est important, et nous proposons une bonne offre. Je dis toujours qu’il faut se maintenir en bonne santé pour réussir.
Il peut être facile d’ignorer notre besoin d’une protection de santé complète, surtout lorsque nous sommes jeunes. Le régime public peut suffire pour les maladies graves et les accidents (c’est-à-dire les choses qui n’arrivent qu’aux autres). Mais après quelques années et une réflexion plus approfondie, vous verrez et sentirez les nombreuses façons dont notre corps lance des appels à l’aide : maux de dents, douleurs au dos, migraines (c’est-à-dire les choses qui arrivent à tout le monde).
Pour toutes les personnes qui ne sont pas couvertes par leur travail, leur école ou leur conjoint, le besoin ne disparaît pas pour autant, même si la solution peut sembler un peu compliquée. C’est là qu’intervient un bon conseiller, qui peut vous aider à comprendre comment certaines polices s’adaptent à vos besoins. C’est ce genre d’aide qui fait la différence entre un régime qui enrichira votre parcours et un régime qui ne fera qu’alourdir votre budget.
Nous pouvons vous aider.
Communiquez avec votre conseiller local de la Financière des avocates et avocats aujourd’hui et obtenez l’assurance maladie et dentaire dont vous avez besoin.
Source : 1. Fédération des ordres professionnels de juristes du Canada, « Rapport statistique 2019 », publié en mars 2022